Oui, à chaque fois que tu me posera cette question à la con je te mentirais.
mercredi 18 novembre 2009
dimanche 8 novembre 2009
Dans le lit j'ai de la place pour deux. Avant que la vie ne passe, je veux garder l'envie. Somme nous heureux ? Une dernière danse.

J'aire. Me demande pas où. Je sais pas. Je cherche même plus à m'accrocher a quoi que se soit. J'avance. J'ai plus envie de regarder en arrière. J'ai plus envie de te haïr. L'amertume s'estompe. Ma colère est parti et tu peux prendre sa place, s'il te plais. Je respire plus, j'étouffe. On s'est suffisamment battu mais désormais je manque d'air.
mercredi 7 octobre 2009
Avant.

J'ai souvent cette douleur dans la poitrine. Elle arrive le soir, lorsque d'un coup tu te sens vide, t'as plus rien ou plus personne sous la main pour te faire penser à autre choses. J'ai pas d'issue de sortie et je sais pas comment je suis arrivé là. Je me souviens juste de se que j'y ai perdue. J'ai rien gagner à tous ces changements. Pour répondre à ta question, Oui sa m'arrive de rien trouver de positif a se qu'il m'arrive. C'est pathétique de dire ça. Dans la vie y a pire que de perdre des personnes. Puis au fond vous êtes pas "perdue", vous faites votre vie et moi la mienne. On s'est perdue voila tout. Je m'en remettrai, je le sais. Mais à ce jour, la plaie est encore trop ouverte.
Je m'étais idéalisé une amitié parfaite. Mais j'ai pas fais d'efforts et toi non plus. On a laissé pourrir les liens, on en a construire d'autres, avec d'autres. Et maintenant c'est trop tard, on a plus rien. Je doute avoir le courage de repartir à zéro. Au fond de moi j'aurai toujours cette rancœur. Tu sais je suis pas rancunière. Je t'ai attendue malgré ma colère. J'ai essayé mais je peux pas faire semblant que tous va bien, que tout s'e
st arrangé. Même après notre discutions je savais que ça s'était ni aggravé ni arrangé. On était toujours au même point. Je t'en voulais, tu m'évitais. Le seul changement c'est que tu sais une partie de mes pensés. Je pourrai pas tout te dire et tout t'écrire. C'est une accumulation de petites choses que tu n'as pas remarqué. T'as changé, j'ai changé. Çà devait pas continuer et puis c'est tout.
Je m'étais idéalisé une amitié parfaite. Mais j'ai pas fais d'efforts et toi non plus. On a laissé pourrir les liens, on en a construire d'autres, avec d'autres. Et maintenant c'est trop tard, on a plus rien. Je doute avoir le courage de repartir à zéro. Au fond de moi j'aurai toujours cette rancœur. Tu sais je suis pas rancunière. Je t'ai attendue malgré ma colère. J'ai essayé mais je peux pas faire semblant que tous va bien, que tout s'e

lundi 5 octobre 2009
Un certain dégout, une amertume. une rancoeur.
Mes paupières me brulent. Mes joues sont maintenant humide. Sa cogne dans ma tête. j'arrive à peine à respirer. Tu peux pas m'entendre pourtant t'es juste à côté de moi.
mercredi 30 septembre 2009
Claque la porte avant de partir.
lundi 28 septembre 2009
Du registre pathétique.
J'y arrive pas. Pourtant j'ai aucune raison d'être comme ça. Mais j'arrive pas à me sentir bien! Toujours un truc qui me tourne dans la tête. Quand c'est pas elle, c'est lui, en passant par eux, puis encore Lui. On dit que le bonheur consiste à désirer ce que l'on a déjà. Et bien j'en veux plus. Je sais pas si c'est un manque d'affection. Sa se traduis par des réponses froides ou inexistantes, un regard vide, un sourire faux les trois quart du temps, des envie de rentrer se foutre au lit, envie de plonger dans un bouquin pour oublier tout se qu'il se passe autour. Je sais pas si c'est toi qui me fais cet effet. Mais plus le temps avance moins j'y pense. C'est pas plus mal d'ailleurs.
dimanche 27 septembre 2009
Maybe

Ta chute est lente mais elle te serra fatal et brutal à la fois. Ouvre les yeux petite. J'espère pour toi que t'as un autre plan. Parce que plus personne n'est là à t'attendre. Je t'avais pourtant prévenue. Regarde toi dans une glace, tu es fausse avec tout le monde. Tu te ment à toi même. Tes mots sont des paroles en l'air. Tu croyais prendre un nouveau tournant mais tu t'es fourré dans un monde de menteurs. Écoutes un peu les gens autour de toi! J'avoue avoir étais méchante mais sincère avec toi. Les gens que tu considère comme "amis", ceux que tu vois tous les Samedi soirs, ceux à qui tu dis bonjours tous les 20 mètres lorsque tu vas en ville, ceux à qui t'envoie des messages pour prendre des nouvelles. Il le font eux? Ils t'appellent? Ils viendraient te dire bonjours si tu les avaient pas vu ? Si tu savais tous se que j'entends de toi, d'eux... Ça te détruirai d'entendre se qu'ils disent de toi.
vendredi 25 septembre 2009
Tu es tout se qui me rassure.
Mes soirées ont un gout amère. Je me sens vide. Comme si j'étais simple spectatrice de vos vies, et même de la mienne. Je marche tous les jours dans les mêmes couloirs avec une gueule de chien battu en espérant croiser un de vous. J'ouvre des portes et les referme aussitôt. J'étais à deux doigts d'avoir se que j'attendais et comme d'habitude, il a filé aussi vite qu'il était venu. Puis à côté de tout ça, il y à toi. Le seul avis qui m'intéresse vraiment. Et tu me fais peur. Non j'ai pas peur de te perdre parce que je sais qu'on peut pas cesser de se voir. Mais j'ai besoin de t'entendre. Tu as tendance a rester dans ton monde. Tu me vois différemment depuis ton retour. Pas besoin du bac pour voir ça. Je voudrai une réaction au lieu d'avoir un mec passif en face de moi.
jeudi 24 septembre 2009
Viens. S'il te plais, viens.
J'ai cette sensation d'ennui. Comme si je ne savais plus profiter. Ma vie manque d'action. Oui je suis comme tout le monde, et je veux vivre une passion. Plus rien n'avance. J'ai l'impression de stagner autour de vous tous. On est peu être tous pareil après tout. Mais moi ça commence a me peser. 6h30, je me réveille. 6h50, je me douche. 7h30, je prend le tram. 7h50, je vous rejoins, du moins se qu'il en reste. 8h10, je dors ou travaille, tout dépend de mon humeur. 12h05, je mange. jusqu'à 13h40 je passe du temps avec se qu'il reste de "nous". Puis je rentre en cours jusqu'à 16h40. Et demain sa sera la même choses. Je m'ennuie.
dimanche 20 septembre 2009
La fascination du pire.
Tous les soirs c'est la même choses. On est malsains et ça nous plais. Rien que t'imaginer glisser entre mes doigts pour finir entre mes reins me fais frémir. éteint la lumière et débattons nous jusqu'à l'aube. Parle moi encore. tes mots me rendent dingue. Je ne pourrai pas rester sur ma faim. Tu m'attire. Tu arrive a me mettre dans un état second avec un rien. Goutes mes lèvres, croques mes lèvres. tiens moi. lâches plus. Je te veux et tu le sais. Le désir se fait de plus en plus fort. Je peux sentir les marques sur mon cou et les griffes dans mon dos. Je me donne à toi, toute entière. Fais de moi se que tu veux. Je veux continuer à vivre dans le secret mais avec beaucoup plus que ce que l'on a maintenant. Passons a l'acte au lieu d'en parler.
dimanche 6 septembre 2009
Perdue d'avance.
Je ne sais pas laquelle de nous deux est la plus fautive.
lundi 24 août 2009
Trouble - Cat Stevens
------------------------------------ Le mail que je t'enverrai jamais.
Tu vois probablement pas comment tu me rends dingue. Ton ignorance est pour moi ton pire des mépris. J'ai pas l'impression d'exister. Dois-je te rappeler que ça fait trois semaines que l'on s'est pas vu ? Je te demande pas de me sauter au cou, on sait tous les deux que c'est pas notre style de se comporter comme ça. Mais j'aurai aimé que tu me dises au moins un mot, un bonjour, que tu prennes de mes nouvelles.
Demain tu repars, et peu être tout ira mieux à ton retour. Je me force à penser positif pourtant je suis plutôt pessimiste comme fille. Je me permettrai pas de juger tes réactions, je les comprends.
Sans toi je ressens un vide. Un frère c'est pas rien, alors parle moi putain ! même si c'est pour me réclamer un briquet, me demander l'heure ou baisser le son de ma musique que j'écoute assez fort pour ne plus penser.
Tu te rappels lorsque je traversai le couloir juste pour te raconter mes dernières histoires? des trucs cons ( comme d'habitude), que l'on se parlait sur msn pour se dire " à table", alors que seulement trois mètre nous sépare. Même maintenant, on est séparé par un mur pourtant pour moi t'es loin.
Par moment j'ai envie de te parler de choses que tu ne soupçonne même pas de moi. J'ai l'impression que tu sais rien de moi. Combien de fois j'ai eu l'envie d'ouvrir cette porte pour tout, vraiment tout te raconter. Mais à chaque fois c'est la même chose. La boule au ventre, la peur que t'es une mauvaise image de moi.
J'ai mal.
Demain tu repars, et peu être tout ira mieux à ton retour. Je me force à penser positif pourtant je suis plutôt pessimiste comme fille. Je me permettrai pas de juger tes réactions, je les comprends.
Sans toi je ressens un vide. Un frère c'est pas rien, alors parle moi putain ! même si c'est pour me réclamer un briquet, me demander l'heure ou baisser le son de ma musique que j'écoute assez fort pour ne plus penser.
Tu te rappels lorsque je traversai le couloir juste pour te raconter mes dernières histoires? des trucs cons ( comme d'habitude), que l'on se parlait sur msn pour se dire " à table", alors que seulement trois mètre nous sépare. Même maintenant, on est séparé par un mur pourtant pour moi t'es loin.
Par moment j'ai envie de te parler de choses que tu ne soupçonne même pas de moi. J'ai l'impression que tu sais rien de moi. Combien de fois j'ai eu l'envie d'ouvrir cette porte pour tout, vraiment tout te raconter. Mais à chaque fois c'est la même chose. La boule au ventre, la peur que t'es une mauvaise image de moi.
J'ai mal.
à toi, R.
vendredi 24 juillet 2009
Tu m'attires et je te désir.
Comme j'étais en vie .

samedi 18 juillet 2009
" Toi c'pas un mode de vie que tu veux, c'est une vie à la mode "

" Au fond j'm'en bas pas les couilles de ce que disent les gens. J'me perd entre ce qu'ils attendent de moi et ce que je suis vraiment. Tout les jours j'fais l'acteur, j'fais semblant. Je maquille la peur en plaisantant, j'perd mon temps à m'poser des questions au lieu d'agir. J'ai peur de la dépression, j'ai peur de l'avenir et ses déceptions. Plus j'grandis, plus l'temps passe et plus j'suis déçu. Sous l'emprise de l'angoisse, des futurs blessures. Plus j'me cherche des excuses, plus j'm'enlise, plus j'm'enivre de négativité et j'me sens vivre. Souvent j'ai peur de l'ennui, j'ai peur de n'avoir aucune raison d'me plaindre. Pourtant j'me sens triste, tout le temps j'me sens vide. J'ai peur d'être normal, d'être moyen, ni trop mal, ni trop bien. "
" j'me suis jamais vraiment investis, j'ai fuis j'ai triché sur mes sentiments croyant rester vrai, j'esquivais l'amour par la peur de m'faire baiser, par lâcheté, j'croyais qu'plus j'm'attachais moins sa marchais.J'ai trahi, j'ai Sali, j'ai haï, j'ai banni. "
" j'me suis jamais vraiment investis, j'ai fuis j'ai triché sur mes sentiments croyant rester vrai, j'esquivais l'amour par la peur de m'faire baiser, par lâcheté, j'croyais qu'plus j'm'attachais moins sa marchais.J'ai trahi, j'ai Sali, j'ai haï, j'ai banni. "
mercredi 15 juillet 2009
Faits divers

Je n'en peux plus de te voir comme ça. Regarde toi dans une glace un peu. Depuis ton retour tu n'es plus le même. Au début je prenais ton comportement avec le sourire et je suivais la bande mais tu deviens absent, tu fais ta vie et tu zappes ta propre famille. Tu ne te rends même pas compte où cela te mène, NUL PART. Mais moi je le sais, je sais très bien qu'IL en est capable. Et si ça fini comme je le pense, je le supporterais pas. Les choses vont s'empirer alors calme toi , s'il te plais.
R.
lundi 6 juillet 2009
Need .
J'ai beau te trouver con, pathétique et particulièrement ridicule, je continue à parler de toi. Je t'en veux et je continuerai a te détester .
jeudi 2 juillet 2009
lundi 29 juin 2009
J'en ai assez .
Je t'en veux. Je t'en veux de me faire passer pour la méchante. Je t'en veux de pas être présente. Je t'en veux d'être avec eux. Je t'en veux de pas chercher à me voir. Je t'en veux de pas voir mon état. Je t'en veux de pas me faire confiance. J'en veux à tes réactions. Je t'en veux de me parler comme ça. Je t'en veux de pas me parler. Je m'en veux de pas réussir a te dire ce que je pense.
lundi 22 juin 2009
dimanche 14 juin 2009
Douce trahison.
Je voudrai te promettre tout. Et te dire que je serai toujours là mais tu me parait tellement absente qui je m'efface. J'aimerai te promettre que je partirai jamais mais j'ai besoin de te l'entendre dire à ton tour. Je me sent faible quand tu m'appelle et sourde quand tu m'envoie des signes. On se fuit pour éviter les cris mais mon esprit bouillonne. Je n'en peux plus de te voir partir.
P.
mardi 9 juin 2009
lundi 8 juin 2009
J'ai d'autres habitudes

Je pensais être passé à autre chose. Mais quand j'ai senti ce parfum, j'ai pris comme une claque au visage. J'avais pourtant cru être plus forte mais cette photo me bouffe et je me ronge de l'intérieur. Chaque claques me paraissent de plus en plus fortes. Pourtant tu n'es plus rien pour moi et vis versa. Je m'en veux d'y avoir cru. J'avais pas prévu de finir comme ça.
i.
dimanche 24 mai 2009
On avance à reculons, c'est la faute à la pression.
on se dit tu, se dit vous, se dit nous . C'est pour de bon. On se dit oui, se dit non. On se pose des questions. On se dit tout, se dit rien. On s'attrape par la main. On se bouscule
à la fin. On bacule dans le ravin. On se réveille un matin. On a du sang sur le main. On se souvient plus de rien, on a juste du chagrin .
Je suis dans un état second. Je réalise la perte petit à petit. Je ne pensais pas être descendu a ce stade, aussi pathétique. C'est plus moi. J'essaie tout de même de me convaincre que je m'en contre fou. Mais c'est plus fort que moi. Toutes ces images, ses mots et ses gestes me hantent.
i .
mercredi 13 mai 2009
I'm ill

Je suis incompréhensible. Je n'explique plus rien. Je me sent vide. Vide de sentiments. Il est là et moi je suis absente. Pourtant je ne déteste pas ses minutes passé avec Lui. Je crois que je fuis le " bonheur " malgré moi. J'ai besoin d'avoir mal pour exister. Parfois ses absences me ronge et la seconde d'après j'y pense à peine . A vrai dire je n'y pense plus. J'ai toujours cette impression. Celle qui n'a aucune limites et me fait aller trop loin.
S.
mardi 5 mai 2009
Oublier le temps des malentendus.
vendredi 1 mai 2009
jeudi 30 avril 2009
Killing me softly .
"Vous me dégoûtez tous avec votre bonheur ! Avec votre vie qu'il faut aimer coûte que coûte. On dirait des chiens qui lèchent tout ce qu'ils trouvent. Et cette petite chance pour tous les jours, si on n'est pas trop exigeant. Moi, je veux tout, tout de suite, - et que ce soit entier - ou alors je refuse ! Je ne veux pas être modeste, moi, et me contenter d'un petit morceau si j'ai été bien sage. Je veux être sûre de tout aujourd'hui et que cela soit aussi beau que quand j'étais petite - ou mourir."
Antigone
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